Une première
Des représentations de visages joyeux étaient successivement associées à une voix enjouée et à une voix en colère. Même chose avec les images de visages de personnes visiblement énervées.
Ils ont alors constaté que les chiens étaient beaucoup plus attentifs si les expressions faciales correspondaient à la «bonne» voix, laissant supposer qu`ils étaient capables d`analyser le lien entre ces deux sens et de définir si l`information était cohérente.«Cette capacité cognitive n`avait, jusqu`à présent, été mise en évidence que chez l`homme», a explique Kun Guo de l`Université de Lincoll.
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