En cette rentrée des députés, le malaise est toujours aussi profond dans la majorité. Pour ne pas la mettre en difficulté, le Premier ministre français Manuel Valls a décidé que Christiane Taubira ne défendra pas la déchéance de nationalité devant le Parlement. Mais pour ne pas donner le sentiment d’une mise à l’écart, le chef du gouvernement a annoncé dans la foulée que sa ministre de la Justice défendra en revanche la réforme de loi pénale.
Pour Manuel Valls, il s’agit de faire baisser la pression face à la droite et d’apaiser à gauche.
Tags: