Selon l'ambassadeur, le retour des terres était l'un des principes fondamentaux des principes de Madrid.
« J'ai été surpris quand je suis arrivé ici et j'ai découvert que la plupart des Arméniens que j'ai rencontrés étaient farouchement opposés au retour des territoires occupés dans le cadre d'un accord de négociation » a-t-il noté.
Il dit comprendre que des incidents tels que l'escalade au Karabakh en avril 2016 rendent la situation encore plus difficile pour le peuple arménien, mais «la dure réalité est que tout règlement nécessitera le retour d'une partie des territoires occupés».
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