Il a proposé de «voter» pour la révision constitutionnelle sous les conditions notamment d`étendre cette déchéance de nationalité aux «délits de terrorisme» et non aux seuls crimes, peut-on lire sur Le Figaro. Il aurait également demandé que «la déchéance prenne effet dès le prononcé de la peine, et pas à l`issue de la peine» et qu`elle soit «couplée avec l`expulsion».
Au début de cette réunion, Nicolas Sarkozy aurait déclaré que la mise en place de cette mesure est «une victoire idéologique de la droite».
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