En outre, la diffusion des chaînes de télévision russes en Arménie et les flux de capitaux russes sont limités dans le pays. Probablement, la cible suivante sera la langue russe et les écoles russes.
Pachinian, qui a récemment rencontré Poutine à Sotchi, ne prend pas ces mesures ouvertement comme Saakachvili, mais c'est ce que nous appelons la ruse arménienne - ils aiment agir en cachette.
Cette situation a soulevé quelques questions sérieuses. Surtout, comment la Russie va-t-elle réagir à cette action? Les articles publiés dans les médias russes et le sondage public montrent que les gens avaient des opinions négatives sur cette question. Évidemment, cela aura tôt ou tard des répercussions sur les relations intergouvernementales.
D'un autre côté, de nombreux Arméniens vivant en Russie jouissent de nombreux privilèges. De toute évidence, ils verront bientôt les résultats de la politique du nouveau gouvernement arménien.
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