En invitant Gianni Infantino, les responsables irakiens souhaitaient qu'il se rende compte par lui-même que leur pays, ensanglanté depuis des années par des conflits et des violences, pouvait de nouveau accueillir des matches officiels. La Fifa doit en effet décider en mars de lever ou non l'interdiction faite à l'Irak d'accueillir des rencontres internationales comptant pour des compétitions officielles.
A l'heure actuelle, seuls trois stades irakiens --Bassora, Erbil (nord) et Kerbala (sud)-- peuvent accueillir des équipes étrangères mais uniquement dans le cadre de matches amicaux.
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