Les personnes arrêtées sont soupçonnées d'avoir échangé des photographies et vidéos sexuelles montrant des enfants sur une plateforme internet d'échanges directs, a précisé la police dans un communiqué, affirmant qu'il s'agissait «de matériel d'une extrême gravité».
La majorité d'entre elles «utilisaient un logiciel spécial pour effacer les contenus pédophiles de l'archivage et des navigateurs permettant d'accéder au dark web», dont le contenu n'est pas indexé par les moteurs de recherche habituels, selon le communiqué.
Un des suspects arrêtés à Alicante est par ailleurs accusé d'avoir obligé des mineurs à poser pour des images à caractère sexuel qu'il diffusait ensuite sur le web. Quatre fillettes victimes de ces pratiques ont été identifiées.
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