Le chef de l'Etat a déclaré que les critiques sur le manque de liberté de la presse en Azerbaïdjan sont sans fondement. Le président a noté que les médias sont complètement libres dans notre pays.

«Environ 80% de la population azerbaïdjanaise utilise Internet et quand Internet est libre sans aucune censure et que la majorité absolue de la population utilise Internet, il est difficile de parler de restriction de la presse»  a-t-il dit. 

«Les campagnes contre les droits de l'homme en Azerbaïdjan n'ont rien à voir avec la réalité. Ces approches sont dues à l'attitude biaisée de certains centres occidentaux. Quelle est la raison? La raison est simple: parce que l'Azerbaïdjan est un pays qui mène une politique indépendante conformément à ses intérêts intérêts nationaux. Nous ne rejoignons aucune aventure, ce qui est risqué et qui peut créer des complications pour notre pays. Comme je l'ai déjà dit, nous n'avons pas de risques internes, nous avons une situation politique et économique stable. Tous les risques potentiels auxquels nous pouvons être confrontés peuvent provenir de l'extérieur. Il y a eu beaucoup de tentatives pour entraîner l'Azerbaïdjan dans une sorte de campagne contre certains pays. Nous sommes toujours très neutres, nous ne jouons contre personne et nous ne participons à aucune campagne risquée qui ne correspond pas à nos intérêts nationaux. Par conséquent, les principales raisons des attaques sont que certains considèrent l'Azerbaïdjan comme trop indépendant pour un très petit pays et ce type de notation de certaines ONG vise à discréditer la réputation du pays, à porter atteinte à sa réputation, à présenter l'Azerbaïdjan comme un pays non-démocratique, ce qui n'est pas vrai», a noté le président.

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