Volkswagen pourrait ainsi conserver son titre de numéro un mondial du secteur, repris en 2016 à Toyota. Le groupe nippon, qui n'a pas encore communiqué ses chiffres annuels, table sur 10,35 millions de véhicules vendus en 2017.
Il se pourrait que Toyota soit aussi distancé par l'alliance ente Nissan, Mitsubishi Motors et Renault. A eux trois, ces constructeurs visent des ventes de 10,5 millions de véhicules sur l'ensemble de l'an dernier.
Après une mauvaise année 2015, Volkswagen s'est remis en selle dès 2016 en termes de livraisons aux clients et a consolidé son rebond l'an dernier.
La Chine a consolidé sa place de premier marché du groupe, en progressant de 5,1% avec près de 4,2 millions de véhicules vendus.
Aux Etats-Unis, les ventes ont aussi repris des couleurs avec une progression de 5,8%, à 625.100 unités. Une performance qui intervient dans le pays où a éclaté au grand jour en septembre 2015 la tricherie du premier constructeur européen, destinée à faire passer ses véhicules diesel pour moins polluants qu'ils n'étaient en réalité.
En novembre dernier, le géant allemand de l'automobile a annoncé vouloir dépenser d'ici 2022 plus de 34 milliards d'euros dans la voiture du futur.
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