"L'heure est venue pour le président Trump, la chancelière Merkel et la Première ministre May de dire 'stop'", a déclaré Nasr Hariri, lors d'un entretien accordé à Reuters. "L'heure est venue pour Trump, Merkel et May d'intensifier leurs pressions et de réunir la communauté internationale (...)", a-t-il ajouté.
Faute de telles interventions, le sang des Syriens continuera de couler, a-t-il affirmé, ajoutant que les prochaines négociations sur le sort de la Syrie se tiendraient fin janvier à Vienne.
Il est en revanche peu probable que l'opposition syrienne se rende à la prochaine conférence organisée à Sotchi par la Russie, notamment parce qu'elle n'a pas encore reçu d'invitation.
"Nous n'avons pas encore reçu d'invitation", a-t-il déclaré. "L'état d'esprit général n'est pas de se rendre à Sotchi. Selon moi, dans les conditions actuelles, il serait inacceptable de se rendre à Sotchi."
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