Partage d'expérience. Dans l'entourage du gouvernement canadien, on explique que certains pays ont moins l'expérience que d'autres dans l'application des sanctions. L'idée est de faire en sorte que les sanctions soient appliquées de façon "égale" par la communauté internationale et "pas seulement par quelques pays parmi les plus développés", indique-t-on.
Blocus maritime. Côté américain, on indique que le renforcement de la sécurité maritime autour de la Corée du Nord sera également abordé mardi dans le but d'intercepter les bateaux qui essaient de contourner les sanctions.
Sans la Chine. La réunion se fait sous l'égide du Canada et des Etats-Unis, mais la Chine, principal partenaire commercial de la Corée du Nord, n'y participe pas. Selon certains diplomates, l'absence la Chine est susceptible de limiter ce qui pourra être décidé mardi. Le mois dernier, le président américain Donald Trump a accusé la Chine de permettre l'entrée du pétrole en Corée du nord. Pékin a démenti.
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