Un «jumelage» illégal: Les tentatives des Arméniens d'établir une «amitié» avec les provinces de France n'ont aucune base légale

  11 Janvier 2018    Lu: 1623
Un «jumelage» illégal: Les tentatives des Arméniens d'établir une «amitié» avec les provinces de France n'ont aucune base légale
Nous observons le prochain spectacle des Arméniens. Le gouvernement arménien recourt à toutes sortes de mensonges et de falsifications pour détourner l'attention de la population arménienne vivant dans des conditions difficiles et la pauvreté dans une contexte de tensions sociales, échecs successifs du pays dans la politique étrangère et sur la ligne de front.
Aujourd'hui, les informations sur les «Journées du Karabakh» organisées dans différentes villes de France (en fait, recueillir des dons en mendiant), l'établissement de relations «fraternisation», entre les régions azerbaïdjanaises occupées par l'Arménie et les différentes préfectures de France sont à l'ordre du jour.

Il faut avouer qu'en effet un tel «document» a été signé avec plusieurs villes de France, même avec le village. Mais est-ce que ces «documents» ont une signification juridique et politique? La réponse la plus juste à la question se trouve dans un document officiel signé par le ministre français des Affaires étrangères et du Développement international et le ministre de l'Intérieur.

Donc, le document signé conjointement qui a été envoyé par ces ministères aux préfectures le 2 juillet 2015, a également souligné que cette activité était interdite et certains organismes officiels l’ont publié sur leurs sites web (https://www.legifrance.gouv.fr/). En même temps, les responsables français ont déclaré lors des réunions avec la partie azerbaïdjanaise que cette interdiction est toujours rappelé au gouvernement provincial et que des travaux pertinents sont menés pour empêcher les initiatives illégales. Le document indique également que la politique étrangère de la France est déterminée par le gouvernement central et que les autorités locales n'ont pas cette autorité.

Que se passe-t-il si un tel « document » est signé pour les citoyens arméniens qui souffrent de la famine et de la misère, et cherchent des moyens d'échapper à l'étranger, que se passera-t-il si non signé? Une centaine de « documents » ne coûte pas 234 drams (0,80 AZN) pour obtenir un morceau de pain.

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