Traduit en justice, Bramhall a affirmé qu’il avait gravé au laser ses initiales S et B sur le foie de deux patients sous anesthésie mais sans leur consentement, qu’il a opérés entre février et août 2013.
Pour ce faire, il s'est servi d'un laser au gaz argon, instrument utilisé en chirurgie notamment pour éviter les hémorragies.
Le tribunal devrait se prononcer dans le courant du mois de janvier sur le chirurgien actuellement en liberté sous caution.
Les initiales avaient été découvertes lors d'une opération de suivi d'une des victimes, selon les médias britanniques.
Il pourrait avoir effectué le même geste sur des centaines de patients durant les 10 ans qu’il a passé dans ce service, dénonce les médias.
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