Le Premier ministre, dont le parti de gauche radicale Syriza est assez largement pacifiste, a même qualifié la vente "d'accord bénéfique pour l'Etat grec", alors qu'on lui demandait si elle serait abandonnée. Il a qualifié les attaques contre cette transaction de "fabrication destinée à désorienter l'opinion publique", ajoutant que le principal parti d'opposition, Nouvelle Démocratie (ND, droite conservatrice), devrait même "s'excuser" auprès du ministère de la Défense.
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