À cet égard, l'Ambassade de l'Azerbaïdjan à Riga, a pris des mesures immédiates, a envoyé une note au ministère des Affaires étrangères, à la direction de la Bibliothèque nationale, ainsi que d'une réunion s’esr tenue au ministère des Affaires étrangères de la Lettonie. Dans les deux appels, ont été fournies des informations sur les activités de falsification des Arméniens sur l'histoire de la région, même le fait que les organisations internationales telles que l'OTAN, l'ONU, l'OSCE, l'UE, l'OCI reconnaissent la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan, ont pris beaucoup de décisions et résolutions, en particulier, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté quatre résolutions exigeant le retrait immédiat et inconditionnel des troupes arméniennes des terres azerbaïdjanaises occupées. Des lettres sur l'inadmissibilité de démontrer une telle carte, violant les normes du droit international, ont été envoyées par l'organisation de la diaspora « Ocaq » en Lettonie.
Dans sa lettre de réponse, le directeur de la Bibliothèque nationale, Andris Vilks, a exprimé ses regrets et s'est excusé, notant que la Bibliothèque nationale en tant qu'institution culturelle est toujours ouverte à diverses idées de coopération. La direction de la bibliothèque, les partenaires de confiance, ne savaient pas que le contenu de l'exposition pourrait violer les normes du droit international.
Ainsi, la carte de 2015 représentant le territoire de la soi-disant république a été retirée de l'exposition. Après cela, l'exposition a cessé son activité.
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