Honnête, Juli Briskman a averti son employeur qu’elle était celle qui avait fait un doigt d’honneur au convoi présidentiel, rapporte le Huffington Post. Mais son entreprise, Akima LLC, n’a visiblement pas apprécié ce geste. Le lendemain, la direction la convoquait pour lui signifier son licenciement pour viol de la politique des réseaux sociaux de la société. La femme, âgée de 50 ans, avait fièrement utilisé le cliché comme image de profil de ses comptes Facebook et Twitter. Julie Briskman est revenue sur les explications données par son employeur : « Ils ont dit : "Nous nous séparons de vous".
Fondamentalement, vous ne pouvez pas avoir de contenus "obscènes" sur les réseaux sociaux », déclare-t-elle au Huffington Post.
Cette mère de deux enfants, qui travaillait au marketing et à la communication, a tenté de démontrer l’injustice de cette décision : elle ne se trouvait pas son lieu de travail et ne mentionne à aucun moment le nom de la société sur ses comptes. Mais l’entreprise a été catégorique et a préféré se séparer d’elle. La photo apparaît, elle, toujours sur ses réseaux sociaux.
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