La décision doit être approuvée par le Parlement.
On ignore si le chef du gouvernement briguera un nouveau mandat de quatre ans. Haïdar al-Abadi a succédé en 2014 à Nouri al-Maliki, un proche du pouvoir iranien tenu responsable de la déroute de l'armée face aux jihadistes de l'Etat islamique, il y a quatre ans.
L'actuel Premier ministre peut se targuer d'avoir restauré le prestige de l'appareil militaire, qui a repris en juillet Mossoul, la métropole du nord du pays, à l'EI avec l'aide de la coalition sous commandement américain.
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