D'après le journal, cette initiative a suscité une réaction négative auprès de féministes.
«Il est outrageant de priver les femmes du droit de s'appeler les femmes par peur d'être traitées de fanatiques», s'est indignée l'écrivaine Sarah Ditum.
Le ministère a rétorqué qu'il n'avait rien contre les femmes.
«Le Royaume-Uni n'est pas contre l'utilisation du terme "une femme enceinte". Nous soutenons pleinement le droit à la vie pour les femmes enceintes et nous avons demandé au Comité des droits de l'homme de l'Onu de ne pas exclure les transgenres enceintes de ce droit», a indiqué l'interlocutrice du Times.
Les ministres discutent en outre d'éventuelles modifications dans la législation qui permettraient aux citoyens britanniques de certifier d'une manière autonome le changement de sexe sans être obligés de fournir de preuves médicales.
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