Il a par ailleurs fait savoir qu’un certain nombre de discussions informelles avaient été tenues, notamment sur les relations avec l’Iran et la nécessité «de tout faire pour que l’accord de juillet 2015 sur le nucléaire soit maintenu», y compris après le retrait des Etats-Unis.
S'agissant de la Turquie, le président français a qualifié les relations entre l’Union européenne et Ankara de "très importantes pour affronter des défis communs comme la gestion des flux migratoires et la lutte contre le terrorisme".
La question centrale du Conseil européen reste toutefois le Brexit. Emmanuel Macron a considéré, à ce propos, que « le Royaume Uni était loin du compte » concernant ses engagements financiers.
La facture de la sortie de la Grande Bretagne de l’UE s’élèverait, en effet, à une somme entre 60 et 100 milliards d’euros d’après "France 24". (Anadolu)
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