Le cabinet élargi comprend donc une femme de moins que le cabinet sortant, qui comptait trois vice-présidentes et une assistante spéciale.
Un ministre et huit vice-présidents doivent encore être désignés mais il ne s'agira a priori pas de femmes.
Contrairement aux ministres, les vice-présidents n'ont pas besoin d'obtenir la confiance du Parlement, qui doit se prononcer à partir de mardi sur chaque ministre pressenti.
Le président Rohani a été vivement critiqué, notamment par les réformateurs, pour ne pas avoir nommé de femmes à des postes ministériels et ne pas avoir rajeuni son cabinet. "Félicitations pour la nomination massive de sunnites (qui forment moins de 10% de la population, ndlr), de femmes et de jeunes dans le gouvernement", a ainsi ironisé dans un tweet le réalisateur Hossein Dehbashi, qui avait pris une part active dans la première campagne présidentielle de M. Rohani en 2013 mais qui a multiplié les critiques ces dernières années contre lui.
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