«Bien que la décision de la Cour suprême des États-Unis soit temporaire, elle démontre qu'en dépit de leurs déclarations les autorités américaines adoptent une attitude raciste et discriminatoire vis-à-vis des musulmans», a indiqué M.Qassemi.
Lundi, la Cour suprême, la plus haute instance judiciaire américaine, avait accepté d'entendre l'appel de Donald Trump concernant son décret antiterroriste, dont l'exécution a été jusqu'à présent bloquée par la justice.
La Cour a également remis en vigueur une partie des dispositions du document qui s'appliquera désormais aux individus «n'ayant pas établi de relation de bonne foi avec une personne ou une entité aux États-Unis».
La première version du décret, qui fermait pour un délai de 90 jours les frontières américaines aux citoyens de sept pays majoritairement musulmans, dont l'Iran, avait été suspendue par de multiples juges, en première instance ainsi qu'en appel.
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