La réinstallation des Arméniens dans le Caucase du Sud a violé la stabilité. Les forces qui ont réinstallé les occupants les ont défendu toujours, a déclaré Directeur de l'Institut d'Histoire de l'ANSA, député Yagoub Mahmoudov lors d’un événement dédié à la Journée du génocide des Azerbaïdjanais.

Selon lui, en défendant les Arméniens, on maintient le Caucase du Sud comme un foyer de tension.

« En 1918, le sort du peuple azerbaïdjanais a été défini. A cette époque, avait été réalisé le plan de la création de l'Arménie dans les territoires azerbaïdjanais. La nation étant incapable de protéger son histoire est vouée à l'échec. Nous gardons notre histoire. Pour priver une nation de sa langue, comment changer son alphabet, comment essayer de changer sa culture ?! Cependant, personne ne sera en mesure de détruire notre peuple » a noté Mahmoudov.

« Les crimes arméniens diffament l'histoire du monde. Ils ont tiré le bébé à naître hors du ventre de sa mère et l'ont fait manger. Avez-vous vu ce genre de crime n'importe où? « a-t-il dit en parlant au sujet des crimes arméniens terribles.

L’ombudsman azerbaïdjanaise Elmira Suleymanova a noté que le génocide du 31 mars contre les Azerbaïdjanis n'a pas été évalué légalement au niveau international.

« Le décret du 26 mars 1998 du Président Heydar Aliyev sur le génocide des Azerbaïdjanais a déclaré officiellement le génocide contre les Azerbaïdjanais pour la première fois en évaluant politiquement ces événements. Dans le même temps, 31 Mars – Journée du génocide des Azerbaïdjanais est commémoré chaque année au niveau de l'État. A partir de la première moitié du XIXe siècle, des milliers de résidents arméniens d'Iran et de Turquie ont été réinstallés en Azerbaïdjan et situés dans les territoires historiques de l'Azerbaïdjan - Karabakh, Nakhchivan, Zengezur, Iravan et d'autres régions. Les nationalistes arméniens et leurs partisans avaient poursuivi une politique de génocide, de nettoyage ethnique et de déportation contre les Azerbaïdjanais pendant plus de deux siècles. Leur objectif principal était d'expulser les Azerbaïdjanais de leurs terres historiques et d'établir «la Grande Arménie» dans ces territoires.

L'un de ces crimes atroces était le génocide commis par les Arméniens contre les Azerbaïdjanais le 31 mars 1918. Le génocide a distingué avec ses conséquences graves avec d'autres massacres. En utilisant les révolutions russes en février et en octobre 1917, les Arméniens réussissent à réaliser leurs prétentions odieuses sous drapeau des bolcheviks et, à partir de mars 1918. Les patriotes arméniens ont tué et brûlé les civils azerbaïdjanais innocents en raison de leur identité nationale et les vandales arméniens ont détruit les rares monuments historiques, les hôpitaux, les écoles et les mosquées d'Azerbaïdjan » selon Mme Suleymanova.

Les actes de génocide des Azerbaïdjanais ont été commis principalement dans les provinces de Bakou, Chamakhy, Guba, Kurdamir, Salyan, Karabakh, Zangezur, Nakhitchévan et Lankaran avec une cruauté spéciale. Au cours des événements de mars, 75 villages de Chamakhy ont été totalement détruits et 7 000 personnes ont été tuées.

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