L’activité qui a réuni musulmans et non musulmans visait à donner le message « ce n’est pas l’islam mais l’extrémisme qui menace les Pays-Bas ».
Les musulmans ont d’ailleurs fait remarquer qu’ils ne constituaient pas de menace contre quiconque et qu’au contraire, ils étaient eux-mêmes victimes du terrorisme.
Les musulmans ont notamment souligné que le leader raciste et islamophobe Geert Wilders représentait une menace pour la société.
Les faits de discrimination (racisme, islamophobie, etc) ont doublé ces derniers temps aux Pays-Bas et plus d’une cinquantaine de mosquée ont été attaquées.
Wilders, qui semblait être le favori des législatives prévues le 15 mars, a régressé à la deuxième place dans les derniers sondages.
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