`La violence policière en Arménie reste impunie` - Human Rights Watch

  16 Janvier 2017    Lu: 1415
`La violence policière en Arménie reste impunie` - Human Rights Watch
La violence utilisée contre les manifestants en Arménie reste impunie. L`organisation des droits de l`homme "Human Rights Watch" l`a déclaré dans son Rapport Global publié le 12 Janvier 2017.

Lors de la 27e édition du Rapport Global de 687 pages du "Human Rights Watch" il a été fait une attention à la situation des droits humains dans plus de 90 pays. Dans un premier temps, le directeur administratif Kenneth Roth a dénoncé les efforts de la nouvelle génération des populistes autoritaires de renverser l`idée des droits de l`homme en le regardant comme un obstacle à la volonté de la majorité.



En Juillet 2016, le rapport a souligné le même sort des journalistes, que les organismes d`application de la loi ont utilisé de la force envers les manifestants et des journalistes, qui couvraient la manifestation pacifique à Erevan. En conséquence, les autorités arméniennes ont arrêtées les organisateurs qui ont mené l`affaire pénale illégale et illégale protestation contre les participants de la manifestation.



"Six mois se sont écoulés, nous nous attendons toujours à ce que les actes d`abus du pouvoir menés par les organismes d`application de la loi seront traduits en justice "- directeur du Human Rights Watch pour le Caucase du Sud Georgie Qoqian l`a dit.

"Les autorités ont retardé la poursuite de nombreuses affaires judiciaires du tribunal compétent contre la police indisciplinée suivi sur la violence contre les manifestants ."

Ainsi, "Sasna Tsrer" dès l’arrestation de régiment de patrouille à Erevan jusqu`au transfert d`armes le 31 Juillet, le soutien du public arménien et le contestation des autorités arméniennes ont conduits au mouvement plus large de la protestation.

En conséquence d`avoir peur de l`élargissement du mouvement, la réaction de la police était un fort



Le 29 Juillet, la police a utilisé de la bombe sonore contre la foule pacifique rassemblés près du régiment ayant saisi. En conséquence, les manifestants et les journalistes se sont blessés des brûlures premier et second degré et des blessures par éclats d`obus. La police et des hommes en civil travaillant avec eux ont utilisés les coups de poing, coups de pied, et des outils en bois et de fer pour attaquer les manifestants, enfin ils ont été battus et beaucoup entre eux ont été arrêtés.

En Juillet et Août, les autorités arméniennes ont illégalement arrêtés des dizaines de personnes au cours des manifestations. Les autorités du pouvoir ont limogées le chef de la police d`Erevan pour la raison de ne pas empêcher la violence contre les manifestants et les journalistes.



Malgré les réprimandes légères, aucune enquête pénale n`a pas été ouverte contre à n`import quel fonctionnaire. Enfin, en Décembre, le chef adjoint de la police d`Erevan a été attribué une médaille d`or par le président arménien Serge Sarkissian " pour la protection excellente de l`ordre public". On va évoquer que la même personne a pris part lors des opérations de police menées le 29 Juillet contre les manifestations.

Tags:  


Fil d'info