Des échantillons précieux de notre patrimoine historique ont été pillés et vendus aux enchères. Dix mosquées ont été détruites par les envahisseurs arméniens. Malgré tout, aujourd’hui vous pouvez voir au centre-ville de Bakou une église arménienne restaurée par le gouvernement azerbaïdjanais.
C’est une différence dans l’approche multiculturelle, l’approche de tolérance religieuse et cela montre que le terrorisme n’a ni religion, ni nationalité, a déclaré le président Ilham Aliyev, lors de son intervention au Forum des dirigeants de la 38e session de la Conférence générale de l’UNESCO.
«Lier l’Islam au terrorisme est inadmissible», a insisté le président de la République. «Ici, je représente un pays musulman qui a souffert du terrorisme, de l’occupation arménienne, de la destruction des monuments historiques. Bien sûr, nous retourneront à nos terres natales, reconstruiront nos villes, y construiront des écoles et des hôpitaux. Mais nous ne pourrons pas restaurer nos monuments historiques. Les Arméniens ont anéanti notre patrimoine historique.
Cependant, ils ne peuvent pas briser la volonté des réfugiés et des personnes déplacées de retourner à leur foyer ancestral, des personnes nées à Bakou et dans d’autres villes d’Azerbaïdjan, qui n’ont jamais vu leur terre natale, mais ayant envie d’y revenir. Ils retourneront chez eux !» a estimé le chef de l’Etat. «Nous ferons tout pour restaurer l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan. Je tiens à souligner une fois de plus que les normes du droit international soutiennent la position de l’Azerbaïdjan», a-t-il averti.
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