"La hausse des prix est soutenue ce lundi par des annonces venues d`Iran, d`Irak et de Russie, qui soutiennent tous l`hypothèse d`un accord", expliquait Enrico Chiorando, de Love Energy.
"Il y a une possibilité élevée que les ministres du Pétrole et de l`Energie de l`Opep arrivent à un accord lors de la réunion de novembre", avait ainsi déclaré le ministre iranien du Pétrole samedi.
"Il semble que l`Iran a accepté un accord à condition de ne pas avoir à couper dans sa production mais de simplement devoir la limiter à son niveau actuel", analysait Enrico Chiorando.
Pour l`instant, l`accord repose essentiellement sur l`Arabie Saoudite, premier exportateur mondial, qui a affirmé être prêt à réduire sa production. Dans ce contexte, les autres informations sur la production mondiale passaient au second plan. "L`activité aux Etats-Unis continue de s`accélérer, avec 19 puits de plus en activité la semaine dernière selon les données de Baker Hughes", rappelaient les analystes de JBC, qui soulignaient que le nombre de forages américains actifs n`avait plus été aussi élevé depuis février dernier.
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