Les scientifiques, écrit la revue Scientific Reports, sont arrivés à cette conclusion après avoir mené une série de tests au cours desquels 437 beagles ˗ placés devant une gamelle fermée remplie de croquettes ˗ devaient demander de l`aide à un homme inconnu présent dans la pièce s`ils voulaient se gaver à volonté.
Au terme de l`expérience, les chercheurs ont retenu les 95 chiens les plus disposés à « s`adresser » à l`homme en cas de nécessité et les 95 beagles les plus « autonomes » dans leur comportement.
Après avoir analysé des échantillons de leur ADN, les biologistes ont constaté que les représentants des deux groupes différaient par cinq séquences de gènes responsables sans doute de la communication sociale, quatre gènes ressemblant à s`y méprendre à ceux de l`homme.
À en croire les scientifiques, l`amitié entre l`homme et le chien relève non seulement de raisons génétiques, mais aussi d`autres facteurs, notamment de l`éducation de l`animal dès son plus jeune âge.
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