«Mes combats ont été très durs. En particulier, je dois souligner le combat final. Quand j’ai vaincu, j’étais presque insensible. J’avais mal aux pieds. C’est maintenant que je comprends combien cette victoire est précieuse», a estimé le taekwondoka.
«J’étais fier d’écouter l’hymne national d’Azerbaïdjan. Ce sont des sentiments inexplicables. Pour cela, il faut battre ses adversaires et monter sur le podium. Je ne réfléchissais pas à la médaille d‘or. Je pensais qu’il fallait revenir avec une médaille de Rio. Mais je me suis qualifié pour la finale et j’ai décroché la médaille d’or», a ajouté Radik Issayev.
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