Une étude a, par exemple, consisté à injecter du LSD dans le cerveau des lapins afin d’analyser si la drogue les faisait davantage cligner des yeux et si elle engendrait des convulsions de la tête. Cette étude a coûté 9,6 millions de dollars.
7,6 millions de dollars supplémentaires ont été déboursés pour voir si certains médicaments psychédéliques provoquaient une augmentation des mouvements de la tête chez les souris.
L’université de Californie à Los-Angeles a dépensé 6,6 millions de dollars et a fait subir des expériences inhumaines à des souris. Ces dernières étaient forcées de rester sur des plaques chaudes et les chercheurs observaient le temps qu’elles mettaient à réagir à cause de la douleur et à lécher leurs pattes afin d’apaiser leurs brûlures.
2 millions de dollars provenant des impôts des Américains ont servi à savoir quelle était la drogue – ecstasy, méphédrone ou cocaïne – la plus addictive pour des bébés rats femelles. Ils ont ensuite été décapités pour que les scientifiques puissent étudier leur cerveau.
Les chercheurs américains ont aussi gaspillé 1,5 millions de dollars pour savoir si la méthamphétamine était toxique pour les souris.
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