«Il y a des divergences de points de vue avec la Turquie autour de la question syrienne. Soit nous essayons de les résoudre par la voix du dialogue, soit nous refusons de communiquer ensemble. Aujourd’hui, c’est la première option qui l’emporte», a déclaré Zakharova, lors d’une conférence de presse tenue jeudi.
Et d’ajouter : «On ne peut résoudre ces divergences du jour au lendemain. Toutefois, nous sommes en train de faire des efforts que nous estimons positifs et constructifs et qui se poursuivront sous d’autres aspects».
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