Selon la déclaration, dans l`histoire de l’indépendance de l`Azerbaïdjan, c’est la première fois que l`OSCE / BIDDH a refusé de coopérer avec l`Azerbaïdjan dans ce domaine : « En fait, nous considérons cette question pour l`OSCE comme une occasion manquée d`aider l`Azerbaïdjan dans le processus électoral, comme il est prévu par le mandat du BIDDH. La position du gouvernement et du leadership est claire, sur la violation du mandat du directeur du BIDDH. Dans les deux derniers mois, nous avons essayé d`établir des contacts avec le Conseil permanent de l`OSCE. Nous avons essayé convaincre le BIDDH que la décision de ne pas envoyer d`observateurs en Azerbaïdjan va créer un précédent négatif. Malheureusement, le BIDDH n`a pas répondu à nos appels et a refusé de coopérer avec l`Azerbaïdjan dans cette élection. Une telle approche par le BIDDH affaiblit considérablement les perspectives de coopération avec l`institut susmentionné, sans l’élimination de la situation actuelle.
Selon les conclusions des missions d`observateurs internationaux, y compris les missions d`observation électorale de l`Assemblée parlementaire du Conseil de l`Europe, de la
CEI et TurkPa, les élections se sont tenues de manière libre, équitable et démocratique avec un taux de participation élevé, reflétant ainsi la volonté de la nation azerbaïdjanaise.
En conclusion, je tiens à souligner que l`Azerbaïdjan se réjouit de poursuivre sa coopération avec les institutions de l`OSCE et les Etats participants, y compris les États membres de l`UE, conformément aux décisions prises et sur la base des principes de l`OSCE » dit la déclaration.
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