« Il ne faut pas interpréter l’attente de la Turquie comme une menace. Mais si l’exemption des visas n’est pas mise en vigueur, nous serons contraints de faire marche arrière concernant l’accord de réadmission » a estimé Cavusoglu.
« Le gouvernement turc attend une date définitive pour l’exemption de visas. Cela peut être début ou mi-octobre, mais nous attendons une date précise » a-t-il ajouté.
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