L`administration du Nouveau musée essaye de trouver un moyen de restaurer le tableau de M.Kepke dont le montant de l`assurance s`élève à 80.000 euros. Tandis que les restaurateurs du musée cherchent à enlever les inscriptions, les policiers ont ouvert une enquête pénale.
La dame, qui a décidé de remplir la grille de mots croisés sur le tableau, est résidente d`une maison de retraite nommée l`"Atelier littéraire". Après avoir apporté sa "contribution" à l`art contemporain, elle a dû expliquer ses actes à l`administration du musée. Ensuite, deux policiers ont rompu son déjeuner dans un café avoisinant le musée pour l`amener au poste et l`interpeller.
Par la suite, des représentants de l`"Atelier littéraire" ont fait une déclaration où ils ont accusé les actions des policiers et de l`administration du musée. Ces derniers ont déclaré qu`ils avaient traité la vieille dame comme une idiote et qu`ils l`avaient laissée quitter le commissariat sous une pluie diluvienne.
Selon la directrice du musée Eva Kraus, personne ne voulait manquer de respect à la vieille dame. Dans le même temps, elle a fait remarquer que même les enfants comprenaient qu`il était défendu de dessiner sur les tableaux.
"Il n`y avait pas de malveillance à l`égard de la vieille dame mais nous devions informer la police des dommages", a-t-elle expliqué citée par le journal allemand Nurnberger Nachrichten.
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