"Le contenu des accords a défini des garde-fous pour éviter que le futur président prenne un tel risque."
Ben Rhodes, qui est considéré comme un important conseiller du président Obama, s`est justifié de la sorte :
"Il ne me paraît pas raisonnable qu`en guise de première mesure, le futur président décide de mettre un coup d`accélérateur à la crise du Moyen-Orient, ce qui serait susceptible d’augmenter les risques de la course aux armes nucléaires ou de provoquer une autre guerre."
Tags: