« Je suppose que tout cela vient de la réticence de la Turquie d’être un véritable partenaire sur un éventail de questions, de ses tentatives périodiques pour organiser des scandales, offenser ses partenaires, y compris en Europe » a noté Lavrov.
Lavrov a ajouté que Moscou considère la décision du Bundestag comme une expression libre de la volonté des députés : « Peut-être, certaines spéculations ont joué un rôle dans la décision des initiateurs de tenir ce vote à ce moment précis, mais je ne peux pas spéculer à ce sujet. Bien sûr, nous savions qu’un tel vote aurait lieu, mais nous avons obtenu des informations au dernier moment» a déclaré Lavrov.
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