La rencontre avait pour but de mettre en place la Fondation britannique pour l’étude de l’Azerbaïdjan et du Caucase.
N. Pachayeva a fait savoir que malgré les travaux effectués en matière de développement des relations culturelles, politiques et économiques avec la Grande Bretagne après le rétablissement de l’indépendance nationale de l’Azerbaïdjan, ce dernier n’était pas assez connu dans la société britannique et parmi ses citoyens. Comme par exemple, elle a mentionné l’expression de la tension dans le Haut-Karabagh comme “sous-estimé” et une région compliquée dans les médias britanniques, et de ce conflit comme celui chrétien-musulman dans les médias mondiaux.
Puis les discussions ont porté sur l’objectif principal de la rencontre.
N. Pachayeva a proposé de mettre en place la Fondation britannique pour l’étude de l’Azerbaïdjan et du Caucase. Cette idée avait été conçue à l’issue des consultations entre les professeurs Robert Hoyland, Andrew Pikok et Robert Gliv.
La professeur N. Pachayeva a été élue présidente du Conseil des tutelles de la Fondation britannique.
Selon la présidente du conseil, la Fondation œuvrera pour contribuer aux les relations bilatérales scientifiques, culturelles et éducatives entre l’Azerbaïdjan et le Royaume-Uni. «La mise en place de la Fondation britannique est déjà une nécessité historique culturelle. Réaliser cette nécessité est très important», a précisé N. Pachayeva.
Elle a ensuite invité M. Bruce à adhérer au Conseil des tutelles et son invitation a été acceptée avec plaisir.
La cérémonie de présentation de la nouvelle fondation aura lieu dans un proche avenir à Londres.
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