Ces morts « prématurées » auraient en effet pu être évitées, grâce aux connaissances et aux technologies médicales connues aujourd’hui.
Les crises cardiaques en particulier, n’auraient ainsi pas lieu « si des soins de santé efficaces et prodigués à temps étaient en place ».
La France, meilleur élève d’Europe
A noter que la France est le pays européen où la part de ces décès « évitables » est la plus faible avec 23,8 % contre une moyenne européenne de 33,7 %.
Ces chiffres sont induits par une bonne prise en charge des crises cardiaques (6 % des décès en France) et des accidents vasculaires cérébraux (5,7 %).
Les parts les plus élevées de décès évitables ont été enregistrées en Roumanie (49,4 %) ainsi qu’en Lettonie (48,5 %), suivies de la Lituanie (45,4 %).
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