Vice-président de Bundestag: "L`Allemagne ne voit pas d`une solution militaire au conflit du Karabakh"

  25 Mai 2016    Lu: 711
Vice-président de Bundestag: "L`Allemagne ne voit pas d`une solution militaire au conflit du Karabakh"
L`Allemagne joue maintenant un rôle clé dans la question d`importance vitale pour l`Arménie - le règlement du conflit du Karabakh. Les questions ont été élevés à l`ordre du jour de la réunion des vice-présidents des parlements des deux pays aujourd`hui le 25 Mai.

En tant que pays de l`OSCE qui préside, l`Allemagne tente de jouer un rôle pratique dans l`établissement de la paix dans la région, vice-président du Bundestag, Edelgard Bulmahn, l`a dit lors d`une conférence de presse avec l`Assemblée nationale arménienne le 24 mai.

"Le Parlement allemand soutient les efforts du Groupe de Minsk de l`OSCE et a signifié l`importance de la mise en œuvre des accords conclus lors de la réunion de Vienne. Nous espérons que le cessez-le feu sera maintenu, et les accords ne resterons pas sur le papier », dit-elle.

"L`Allemagne est convaincu qu`il ne peut y avoir de solution militaire au conflit du Karabakh", a déclaré Bulmahn.

"Nous espérons que les accords sur le cessez serviront de base à la reprise des négociations sur la base des principes fondamentaux proposés par les coprésidents du Groupe de Minsk," a t-elle ajouté.

Vice-Président de l`Edward Sharmazanov de l`Assemblée nationale arménienne, a réitéré que la négociation peut reprendre et poursuivre que lorsque les accords conclus soient respectés à Vienne. "La mise en œuvre des méthodes est de surveiller et d`enquêter à la ligne de contact extrêmement important pour l`Arménie," a t-il dit.

AzVision.az évoque que le 2 Juin, le Bundestag allemand doit se prononcer sur un projet de loi condamnant le soi-disant génocide arménien attendus. La résolution est le résultat d`un consensus entre les trois forces politiques, ce qui rend son passage plus probable.

Évoquons que demain, le vice-président du Bundestag se réunira avec le président arménien Serge Sarkissian et le ministre des Affaires étrangères Edward Nalbandian.

par Said Musayev

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