Les nouvelles coliques anti-Azerbaïdjan du Parlement européen - ANALYSE

  29 Octobre 2015    Lu: 729
Les nouvelles coliques anti-Azerbaïdjan du Parlement européen - ANALYSE
La résolution adoptée par le Parlement européen est un composant de la politique de pression de l`Ouest.
Les différentes institutions de l`Union européenne exercent leurs fonctions engagées pour mettre en œuvre la politique européenne. L`une d`elles est le Parlement européen.

En fait, la critique du Parlement Européen à l’égard des droits de l`homme ou les normes démocratiques des pays n’importe quels est absurde. Car les valeurs démocratiques et les normes n`ont pas d`une attitude unique, ceux-ci portent des caractères relatifs et le « reproche » de l’un à l’autre sur les relations internationales est au minimum un exemple de comportement cynique et de l`arrogance. En raison de l`absence de normes démocratiques, aucun pays au monde n`a pas élu par la communauté mondiale pour juger l’autre selon ses propres normes.

A l`issue de cette question, le Président Ilham Aliyev a déclaré à sa manière: "A qui empêchons-nous? Seulement à ceux qui veulent dominer partout et voir les « marionnettes ». Ils ne veulent plus voir les politiciens dignes, sûr d`eux, qui sont convaincu au peuple et soutenus par lui-même. "

Il est claire que l`Europe essaie via les institutions, ayant à sa disposition le Parlement européen, le Conseil de l`Europe, l`Assemblée Parlementaire de l`OSCE, comme « la détection des standards démocratiques internationaux et leur évaluation» mises en marche pour essayer de presser sur l’Azerbaïdjan à la veille des compétitions sportives internationales et les élections. Dans ce cas, une question naturelle se pose : pourquoi ? Pourquoi l`Europe a décidé de détériorer ses relations avec l`Azerbaïdjan ?

Selon la résolution du Parlement européen sur l`Azerbaïdjan, "il est exigé que le gouvernement azerbaïdjanais arrête la prise des mesures strictes à l`encontre de la société civile et des droits de l`Homme. "Des mesures strictes à l’encontre de la société civile et de la protection des droits de l’Homme», signifie que les Européens ne sont pas d’accord avec la décision du gouvernement azerbaïdjanais d’interdire le financement des ONG de l’étranger.

Le but des Organisations non gouvernementales(ONG) est de faire la propagande des valeurs en conformité des intérêts nationaux des pays démocratiques. Cela se reflète dans la formule de gouvernance de l`État. Si dans le régime communiste tous cela s`organisait en direct par les institutions de l`État, dans les États libéraux, cette fonction est effectuée indirectement par les ONG, autrement, les institutions de la société civile.

Grâce à l`accroissement constant des ressources financières, le gouvernement a commencé à financer les ONG par le budget de l’État en vue de promouvoir la protection des intérêts nationaux, la création des intérêts de l`État dans la société en limitant le financement des ONG de l’extérieur.

Les ONG dotées par le compte financier extérieur réaliseront naturellement la propagande de promouvoir les intérêts de leurs pays. Ce sont des résultats des activités «des activistes de la société civile », entrés librement au pays, pendant les premières années de l`indépendance de l`Azerbaïdjan que les valeurs nationaux et de la famille ont commencé à s`effacer des consciences.

On peut citer les plusieurs cas de l`activité négative des ONG financé de l’extérieur à l’encontre des intérêts du peuple. Les organisations étrangères arrivées dans le pays sous le nom de « Charité » en réalité mènent les missions de sectes religieuses radicales, les sectes chrétiens, les valeurs culturelles des autres pays. C`est un mécanisme d`influence sur la conscience humaine pour créer un « appui social » à l’intérieur du gouvernement afin d’influencer à l’État grâce à ces personnes. Bien sûr l`Europe ne peut pas être d`accord avec l`annulation du mécanisme d’influence tellement favorable.

Mentionnés les noms de Leyla et Arif Yunus, Khadija Ismail et d`autres dans le document du Parlement européen témoigne leur importance pour l`Europe et évidement, les dirigeants européens les apprécient et ils ont attendu de grands succès d’eux. De quoi peut se composer ces succès ? Bien sûr, c`est la création d`une situation révolutionnaire et de mettre en œuvre le coup d’État. A ce point il est nécessaire de souligner que ces traîtres d`Etat tâchent, évidemment, pour obtenir plus de « revenus » présentent les rapports sur leurs soutiens sociaux en exagérant les données sur leurs activités. Il semble, l`Europe a eu un très grand espoir à ces personnes.

Bien sûr, ce n`est pas le hasard que le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev avait parlé de la création du mouvement « Euro-Maydan », l`implication des jeunes dans ces activités, la dépense des dizaines de millions de dollars en vue de tendre la situation. La réalité est qu`un groupe de personnes avec le soutien financier de l`Ouest avait fait une tentative dans le bût d`organiser un coup d`État, par contre il n’y est pas parvenu. Cependant, l`Europe tente de s`échapper du châtiment ses serviteurs du jugement de la justice en adoptant ce type de résolutions.

Alors une question se pose: Pourquoi l`Ouest souhaite qu’un coup d`Etat fût en Azerbaïdjan?

Il est dû à une politique intérieure, extérieure indépendante et souveraine de l`Azerbaïdjan. Par exemple, la prospérité de l`amitié Bakou-Moscou ne cesse pas irriter Washington et Bruxelles dans le contexte d’intense querelle entre l`Ouest et la Russie. En fait, Bakou n`est plus désireuse à l’égard du développement de bonnes relations avec Moscou. Simplement le maintien de bonnes relations avec le Kremlin semble plus convexe quand tous se sont détournés de lui.

L`Azerbaïdjan donne une grande importance à ses relations avec la Russie, sa voisine et le plus grand État dans la région principalement en vue de la sécurité de ses citoyens. Et bien sûr, le Parlement européen ne soit pas trop de soucis pour cela lorsqu’il ferme ses yeux aux changements de pouvoir en Egypte, au Yémen et en Syrie, qui aboutissent à la mort de milliers de personnes. Pour l’Europe les plus essentiels sont des intérêts géostratégiques. L`exportation du gaz de Turkménistan vers l`Ouest via l`Azerbaïdjan constitue une question principale pour l`Europe. La Russie ne veut pas la réalisation de ce projet et les bonnes relations avec l’Azerbaïdjan aident au retard du processus de sa réalisation. L`Europe n`aimerait pas l`Azerbaïdjan parce que malgré l’adoption de plusieurs résolutions de ce type, la Turquie prend en considération la demande de l`Azerbaïdjan ne pas ouvrir les frontières avec l`Arménie.

Enfin, je tiens à porter à l`attention la citation du président Ilham Aliyev. J’espère que les membres du Parlement européen qui ont voté pour cette résolution ont écouté ce discours " En Azerbaïdjan tout est résolu par la volonté du peuple, mais pas à l`incitation des cercles étrangers. Le peuple azerbaïdjanais a dit ‘’non’’ à toutes ces intentions laides, ils ont soutenu le gouvernement et aujourd`hui ce soutien est la principale source de force ", - a déclaré le Président lors d`une réunion consacrée aux questions économiques et à la préparation du budget de l`État pour 2016

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