Après avoir gagné l’indépendance en 1991, le pays était en très mauvais état. La situation était complètement hors de contrôle, il y avait une crise politique, la guerre civile a éclaté. L`agression arménienne, l’occupation de nos territoires - des moments très difficiles et tragiques » a déclaré le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev, dans une réunion avec la délégation du Mouvement des entreprises de France (MEDEF).
Il a dit que l’Azerbaïdjan a signé en 1994 le «Contrat du siècle»: « Ceci nous a donné une opportunité pour attirer les investissements, et stabiliser l`économie. La récession a été arrêtée en 1996. Depuis cette année, le pays a commencé une période de croissance économique. La croissance la plus rapide était au milieu de l`année 2000.
Cela est principalement dû à l`augmentation de la production et des prix du pétrole. Nous avons dépensé des fonds pour créer une infrastructure moderne, parce qu`il y avait un besoin pour elle. Plus de 3 000 écoles et plus de 500 hôpitaux ont été construits au cours des 10 dernières années. Tous sont des projets sociaux » a mentionné le président Aliyev.
Le Chef d’Etat a également parlé de l’infrastructure routière, en disant que des milliers de kilomètres de routes, peut-être plus de dix mille kilomètres ont été construits en Azerbaïdjan : « Il est un temps que nous avons besoin de prêter plus d’attention au secteur non pétrolier. Notre pays devrait être plus attrayant pour les investisseurs étrangers. Pour cette raison, les réformes économiques actives et profondes accélérées sont menées à cet effet » selon le président azerbaïdjanais.
« Quels sont les obstacles devant les entreprises étrangères qui souhaitent investir en Azerbaïdjan ? Quels sont les obstacles dans l`environnement de l`entreprise? Quels sont les autres obstacles à des entreprises étrangères et locales à investir ? Nous avons pris des décisions importantes à cet égard. Elles ont déjà montré leur efficacité. Par exemple, les inspections menées par les organismes d’Etat dans le secteur privé devraient être limitées. S’il y avait 20 000 inspections dans le premier trimestre de 2015, ce chiffre était de plus de 30 au cours du premier trimestre de 2016 » a-t-il conclu.
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