Une base de données inclura des informations sur plus de 200.000 sociétés, trusts et fondations immatriculées dans 21 paradis fiscaux, de "Hong Kong en passant par le Nevada aux Etats-Unis", a indiqué le Consortium international des journalistes d`investigation (ICIJ) dans un communiqué.
Depuis début avril, les révélations des "Panama Papers" ont provoqué l`ouverture de nombreuses enquêtes dans le monde et conduit le Premier ministre islandais et un ministre espagnol à la démission.
Les quelque 11,5 millions de documents du cabinet panaméen Monsack Fonseca, dévoilés par une centaine de médias, ont plus généralement révélé l`utilisation à grande échelle de sociétés offshore permettant de placer des actifs dans des territoires opaques et à très faible fiscalité.
Dans son communiqué, l`ICIJ affirme que les recherches sur ces documents "continuent" et que de nouveaux articles seront publiés "dans les semaines et les mois qui viennent".
Basé à Washington, le Consortium a déjà mis en ligne en 2013 une base de données sur ses précédentes révélations baptisées "Offshore Leaks".
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