Le «Processus de Bakou» reconnu comme un terme diplomatique international - ministre de la culture d`Azerbaïdjan

  27 Avril 2016    Lu: 1385
Le «Processus de Bakou» reconnu comme un terme diplomatique international - ministre de la culture d`Azerbaïdjan
Le «Processus de Bakou» a déjà été reconnu comme un terme diplomatique international, a déclaré le ministre azerbaïdjanais de la Culture et du Tourisme Abulfaz Garayev, lors de la séance de discussion « Processus de Bakou: Réponse aux nouveaux défis pour le dialogue interculturel mondial », organisée mercredi dans le cadre du 7e Forum global de l`Alliance des civilisations de l`ONU.

Le « Processus de Bakou » n’est pas une approche temporaire, a dit Garayev.

Il a noté que tous les huit citoyens en Azerbaïdjan ont le statut de PDI, après avoir souffert de grands défis et problèmes. « Mais cela est resté déjà dans le passé. Nous sommes prêts à le partager et nous avons déjà montré au monde la nouvelle vision de la culture azerbaïdjanaise. Nous sommes fiers de la responsabilité de l`Azerbaïdjan. Et nous pensons que ces sentiments doivent être partagés avec le monde, qui fait partie du dialogue interculturel. Nous devons faire tout notre possible pour promouvoir la culture » a-t-il ajouté.

Lors de la séance, le Haut Représentant de l`Alliance Nassir Abdulaziz Al-Nasser a déclaré que le «processus de Bakou», qui a débuté en 2008, est un processus énorme en termes de la productivité constructive, de la tolérance et de la compréhension mutuelle. « L’Alliance des civilisations de l`ONU soutient ce genre d`initiatives. Le multiculturalisme d’Azerbaïdjan est devenu une politique d’Etat. Nous devons appliquer le multiculturalisme dans nos sociétés » a-t-il souligné.

A son tour, le secrétaire général de l`ISESCO Abdulaziz Othman Altwaijri a déclaré que les problèmes peuvent être résolus en rassemblant les gens : « Après cela, nous pouvons établir les relations sur la base de la compréhension mutuelle.

« Nous sommes les enfants de l`humanité. La race et la religion ne devraient pas constituer un obstacle pour nous, au contraire, devrait agir comme un pont entre nous » a-t-il dit, en notant que l`ISESCO continuera à soutenir ce processus.

Prenant la parole lors de la session, Jean-Christophe Bas, fondateur et PDG de « Global Compass » a souligné l`importance des communications régulières entre les gens. « Les gens sont peu timide pour communiquer entre eux. Si nous voulons promouvoir la compréhension entre les peuples, les dirigeants doivent envoyer un message à ce sujet. Les sociétés civiles et les hommes d`affaires devraient également être actifs à cet égard » a-t-il dit.

A son tour, Belinda Preis, chef de la section du dialogue interculturel de l`UNESCO a fait plusieurs propositions concernant le «processus de Bakou». Elle a déclaré que le «processus de Bakou» est une plate-forme globale et réussie qui offre de nouvelles opportunités.

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