La réunion entre les deux parties, ne sera pas suivie par des représentants du Département du Trésor des États-Unis, qui est responsable du processus de la levée des sanctions, a cependant précisé le porte-parole.
Cette réunion intervient après que la plus haute instance judiciaire des États-Unis, ait permis aux citoyens américains affectés par les explosions qui ont eu lieu à Beyrouth en 1983, à recevoir des compensations financées par les fonds iraniens ères gelés dans une banque à New York.
Une mesure qui a suscité les doutes du gouvernement iranien à l’égard de la volonté américaine de lever les sanctions imposées à Téhéran, en dépit de la confirmation faite par l`Agence internationale de l`énergie atomique sur le respect de l’Iran de ses engagements, dans le cadre des accords sur le nucléaires conclus avec le groupe des 5 + 1, l`été dernier.
La capitale libanaise, Beyrouth, a été le théâtre de deux attentats commis à l’aide de deux camions piégés, le 23 octobre 1983. Les explosions avaient ciblé deux bâtiments des forces américaines et françaises. 299 soldats (241 américains et 58 français), ainsi que 6 civils, et deux assaillants ont été tués dans ces attentats. Un citoyen iranien et une organisation relevant de Hezbollah ont été accusés d’être les instigateurs de ll`opération.
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