Jusqu’à maintenant, «The Special One» a toujours refusé les avances du club de la capitale. Depuis l’arrivée de QSI à la tête du club parisien, les dirigeants ont tenté à plusieurs reprises d’attirer le coach lusitanien sur le banc parisien, mais ils se sont heurtés à de multiples refus. La prochaine tentative pourrait toutefois être la bonne.
José Mourinho est dans une position de plus en plus inconfortable chez les Blues. Champion d’Angleterre la saison dernière, le club londonien occupe aujourd’hui la 15e place du classement en Premier League après un nouveau revers (le 5e cette saison) subi le week-end dernier sur le terrain de West Ham (2-1). Si sa direction lui a apporté son soutien il y a quelques semaines, une nouvelle défaite en Coupe de la Ligue anglaise sur la pelouse de Stoke City ou en Premier League dans le choc face à Liverpool devrait sceller son sort. D’autant qu’en plus des résultats catastrophiques, l’ancien entraîneur du Real Madrid s’est mis une bonne partie du vestiaire à dos, Eden Hazard en tête. Les noms de Carlo Ancelotti et Guus Hiddink ont déjà été évoqués par la presse anglaise pour le remplacer.
Des contacts auraient déjà été établis
En cas de licenciement, José Mourinho aurait déjà plusieurs options en tête, toujours selon les médias britanniques. La première pourrait l’amener à prendre une année sabbatique pour rester notamment auprès de son père touché par la maladie. Mais sa préférence, outre un éventuel retour à l’Inter Milan, où il a remporté la Ligue des champions en 2010, serait le PSG. Des contacts auraient même déjà été établis entre les deux parties depuis quelques semaines. Et une arrivée à Paris est d’autant plus possible que le contrat de Laurent Blanc, actuel entraîneur du triple champion de France, arrivera à son terme en juin prochain et que son avenir est conditionné au parcours des Parisiens en Ligue des champions.
Mais si la volonté de José Mourinho de rejoindre Paris se confirme, l’ancien sélectionneur des Bleus devrait avoir très peu de chances de se voir offrir une prolongation de contrat, peu importe les résultats sur la scène européenne. Et les dirigeants parisiens verraient enfin leur rêve devenir réalité.
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