Dans son intervention, Farid Chafiyev a fait savoir que qu’il y avait effectivement une crise avec la France. Selon lui, bien que la cause de cette crise soit la France elle-même, la coopération entre les deux pays en matière économique et énergétique se poursuit.
Il a ajouté que le facteur arménien en France jouait un grand rôle dans la tension des relations et l’Azerbaïdjan n’en était pas l’initiateur.
Farid Chafiyev a souligné qu’il existait en Azerbaïdjan une attitude normale à l’égard de la culture et de la langue françaises. (Azertac)
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