L’une américaine, baptisée Blue Ghost développée par l’entreprise Firefly Aerospace pour la Nasa ; l’autre japonaise, prénommée Resilience pour le compte de la société ispace.
Toutes deux espèrent réitérer l’exploit d’Intuitive Machines, seule entreprise privée à être parvenue à poser un engin sur la Lune. Ispace l’avait tenté en 2023, mais sa sonde s’était alors malencontreusement écrasée sur la Lune.
Avec sa sonde remplie de multiples instruments scientifiques, la Nasa prévoit de mener diverses recherches allant de «la compréhension de la poussière lunaire à la caractérisation de la structure et des propriétés thermiques de l’intérieur de la Lune», a expliqué Maria Banks, une responsable scientifique de l’agence.
Dans la perspective du retour des États-Unis sur la Lune prévu «mi-2027», l’agence spatiale américaine veut profiter de cette mission pour tester de nouvelles technologies en matière de navigation pour préparer les missions humaines.
Le Figaro