Soulignant que les partisans de Soros avaient effectivement perdu leurs positions, le président azerbaïdjanais a déclaré que la direction de l’Arménie devait en tenir compte. « Qu’ils prennent en compte que la dictature d’Assad au Moyen-Orient, leur proche allié, est déjà devenue la poubelle de l’Histoire, et cela continuera, c'est pourquoi ils doivent faire le bon choix. En tant qu’Azerbaïdjan, nous ne sommes pas une source de menace pour eux. Nous voulons que la paix et la coopération règnent dans le Caucase du Sud, et qu’ils ne nous empêchent pas. Qu’ils ne constituent pas d’obstacle entre la Türkiye et l’Azerbaïdjan en tant que barrière géographique. Le corridor de Zenguézour doit être ouvert et il sera ouvert. Plus ils le comprendront tôt, mieux ce sera », a affirmé le président de la République. (Azertac)
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