Des députés, des chefs des organisations non gouvernementales, des personnalités politiques, des écologistes, des défenseurs des droits de l’homme provenant du Mali, du Kenya, de la République démocratique du Congo, du Nigeria, de Djibouti, du Togo, de Mauritanie, du Zimbabwe, de Zambie et du Cameroun, pays souffrant du colonialisme, ont participé à cette conférence.
Un échange de vues a eu lieu sur les moyens les plus optimaux pour le continent africain vers un avenir vert et sans intervention. Les discussions ont porté sur les impacts négatifs de la colonisation dans ces régions, ainsi que les questions promouvant le développement durable, la restauration écologique et la durabilité.
Les députés africains ont abordé les relations avec les anciens États coloniaux dans leurs pays et la poursuite de la politique coloniale de ces États, condamnant les tentatives desdits Etats de mettre en œuvre de nouvelles formes du colonialisme.
Les députés ont notamment souligné que l’État français avait été expulsé de la région africaine du Sahel pour sa politique coloniale.
Une vidéo consacrée aux activités du Groupe d’initiative de Bakou a été projetée lors de la conférence.
Une exposition photo reflétant les résultats négatifs des essais nucléaires français dans les pays africains y a été organisée. (Azertac)
