« Les personnes mentionnées dans les allégations de la partie néerlandaise comme « prisonniers de guerre » sont des personnes accusées de séparatisme, de meurtre prémédité, de torture, d’actes terroristes et d’autres crimes contre l’humanité sur le territoire de l’Azerbaïdjan. Bien entendu, l’Azerbaïdjan a à la fois le droit et l’obligation internationale de traduire ces individus en justice en vertu du droit international, notamment des Conventions de Genève de 1949, de la Convention internationale contre le recrutement, l’utilisation, le financement et l’instruction de mercenaires, et de la législation nationale. Par conséquent, toutes les opinions exprimées contre l’Azerbaïdjan dans la question mentionnée n’ont aucune importance.
« Nous appelons la partie néerlandaise à abandonner sa position unilatérale, qui est contraire à la paix dans la région et crée des tensions dans les relations entre l'Azerbaïdjan et les Pays-Bas », a souligné Hadjizadé.
Il a noté que l'Azerbaïdjan rejetait fermement deux autres résolutions anti-azerbaïdjanaises adoptées par la Chambre des représentants du Parlement du Royaume des Pays-Bas le 10 octobre.
« Dans le même temps, l'expression du soutien du ministre néerlandais des Affaires étrangères Caspar Veldkamp lors de son discours en faveur de ces résolutions biaisées, et les appels à la libération des représentants de l'ancien régime séparatiste et des terroristes arrêtés par l'Azerbaïdjan les qualifiant de « prisonniers de guerre » sont inacceptables », a-t-il ajouté.
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