« Déterminer le sort de près de 4 000 citoyens azerbaïdjanais portés disparus à la suite de l'agression arménienne contre l'Azerbaïdjan depuis 30 ans est l'un des problèmes humanitaires les plus graves qui concernent non seulement leurs proches, mais aussi le gouvernement azerbaïdjanais. L'Arménie s'abstient de fournir des informations sur leur localisation et l'emplacement des fosses communes, démontrant une fois de plus sa nature inhumaine », a écrit Hadjiyev sur son compte X.
Son rapport met en évidence les témoignages de nombreux témoins et la découverte de fosses communes dans les territoires libérés de l'occupation, qui révèlent que les captifs azerbaïdjanais ont été soumis à de graves tortures et à des massacres par les forces arméniennes.
Hikmet Hadjiyev a souligné que les responsables de ces crimes contre l’humanité ont non seulement échappé à la punition, mais sont souvent célébrés en Arménie.
Il a déclaré : « Mais la justice a prévalu ! Aujourd’hui, la plupart de ces criminels sont tenus responsables en Azerbaïdjan. Les politiciens et les médias occidentaux, payés par le lobby arménien et moralement en faillite, qui appellent à la libération de ces criminels de guerre devraient au moins avoir honte. L’Arménie devrait également avoir honte de ses actes barbares, présenter des excuses à l’Azerbaïdjan, demander des comptes aux autres coupables et signaler l’emplacement exact des fosses communes, y compris les restes du héros national azerbaïdjanais Natig Gassimov. »
Hadjiyev a souligné que la libération des terres azerbaïdjanaises de l'occupation avait donné une grande impulsion au processus de recherche du sort des disparus :
« Sur instruction du président Ilham Aliyev, la Commission d'État pour les prisonniers de guerre, les otages et les personnes portées disparues de la République d'Azerbaïdjan et les institutions gouvernementales compétentes, sur la base des analyses DNT des restes humains découverts, ont identifié jusqu'à présent 151 personnes portées disparues depuis la première guerre du Karabagh. Les retrouver après 30 ans et les enterrer avec les honneurs funéraires militaires montre une fois de plus comment le président de l'Azerbaïdjan et l'État azerbaïdjanais valorisent et prennent soin de leurs citoyens », indique la publication.
L'assistant du président a également souligné que l'Azerbaïdjan trouvait insatisfaisants les efforts des institutions comme le Comité international de la Croix-Rouge, chargé de déterminer le sort des personnes portées disparues en vertu du droit international humanitaire.
« Au lieu de cela, le CICR, contrairement à son propre statut, se livre en coulisses à la fuite de fausses informations et de « renseignements de fond » vers de soi-disant rapports de politiciens occidentaux douteux qui sont à la solde du gouvernement arménien et du lobby arménien. L'Azerbaïdjan continuera à n'épargner aucun effort pour déterminer le sort des personnes portées disparues et mettra fin au désir et à la souffrance de leurs familles », a écrit Hadjiyev.
Tags:
